Extrait du journal

sous les arbres proches, un cheval dételé, le nez dans l'herbe. Une jeune fille, debout auorès de lui, passait ses doigts dans la crinière. Certes, la machine, mue par le génie et l'audace de l'homme, était belle en ses évolutions, mais combien plus belle encore !a vision humain et quasi de tous les temps qui unissait la grâce animale au rayonnement de la jeunesse féminine. Beauté mécanique d'une pait : à côté, beauté plastique. La première attirait tous regards, la seconde, pourtant. était seule éternelle, seule dont l'Humanité ne saurait se Ipsser, puisque les artistes, tour à tour, subjugués par un spectacle-sans cesse renouvelé et sans cesse nouveau, tout en restant pareil, s'épuisent, civilisation après civilisation, à en retracer la splendeur....