Extrait du journal

çomnenit pas ta présence et prolongent pour ton enchantement cette apparition furtive dans la mystérieuse poésie des bois. Eh bien, sous ses chatoyantes élégances de surface, le monde est une vaste mer dans les profondeurs de laquelle s'agite toute la complexité d'une vie bouffonne et tragique. Une grande vilife est unie immense forêt qui abrite des milliers de drames et de comédies, où l'on peut se donner la distraction die suivra à lia, piste de bien curieux anilmaux farouches ou sournois, passilonnés, vertigineux OIU: cupides. Alors, pas plus que le passant de la forêt ou l'observateur d;es fonds marins, si l'on veut que le spectacle :se prolonge et se corse, il ne faut bouger. Lorsque lia sublime et secrète vérité, que tu as patiemment guettée, t'apparaît enfin, pas un souritre qui peut faire voir que tu as compris, pas un treissaillement qui puisse inquiéter la confidence, pas un mot maladroit qui l'interrompe!....