Extrait du journal

Deuxième Partie. 4m* Volume. ~ X. Puis il resta longtemps ainsi sans voix, sans pensée, sans mouvement ; ses larmes coulèrent cl il se dit : — Si je savais où elle est allée.... si je pouvais la voir... nie mettre à ses genoux, la prier, la supplier... lui demander pitié ou nom de mes cheveux blancs.... au nom de l’amour que j’avais pour elle... Oh ! il faut que je la retrouve... il faut... Ivarnieuc se leva et s’arrêta soudain, à la pensée qu’il allait questionner ses domes tiques, les mettre dans la confidence de son malheur, leur montrer son visage boule versé... Et il vint sc rasseoir inerte et stupide. Tout à coup la porte s’ouvrit et un homme parut sur le seuil, précédé par un domestique qui ( introduisit et se retira sans avoir pris garde à l’état anormal de son maître. Cet homme, — c’était le Blondin , vul gairement appelé, dans le monde élégant qu’il fréquentait, du séduisant prénom de Léon de Mcrvillc. En toute autre circonstance et devinant le motif qui l’amenait, le banquier eût reçu Voir les K°* depuis le 4 février iS37....