Extrait du journal

— Treize francs soixante-quinze, oui, monsieur. Louis la regarda, surpris. M. Dubois avait compris qu’on les ob servait. En effet, M. Bory père venait d’entrer. — Tiens, Dubois, fit-il en allant vers l’ancien négociant, quel bon vent vous amène?... et il lui serra amicalement la main. — Mais c’est M. Borel fils, conti nua-t-il, en apercevant Louis. — Comment allez-vous?... Et le papa.?... Et le jeune ménage ? Rien de nouveau ? Dubois sentit que la conversation allait devenir pénible ou gênante ; immédiate ment il dit : — J’ai besoin de quelques broderies avantageuses, alors j’ai pensé à mon vieil ami Bory. — Vous êtes en pays de connaissance, ajouta M. Bory, montrant Fernande. — Mais oui, monsieur, fit la jeune fille. — Alors je n’ai pas besoin de vous re commander de bien les soigner. — Voyez vous, dit Bory à Dubois, c’est la meilleure de mes employées, je suis très content d’elle, très content.., Fernande rougit et baissa les yeux. — Tenez, regardez la, fit M. Bory, je la fais rougir. C’est très vrai, je suis en chanté de mon employée... Elle arrivera chez moi à être première. —Oh ! mince d’appointements.aalorss», fit un peu communément Louis. — Appointements... tout de suite la question d’argent l... On les reconnaît bien là les gens de bourse,,, mrr Ç)h ! ces pauvres gens de bourse, en...