Extrait du journal

— Eh bien allumez un cigare. Celte be, uté excitante et ces mœurs singulières lui firent l’effet d’une boisson capiteuse. Il se grisa de passion et de curiosité, et, te croyant supérieur à ses rivaux, il déclara nettement à Paula qu’il acceptait la situation, certain qu’il était de vaincre. Paula se contenta de sourire. — Puis je revenir demain ? lui de manda t-il. — Je vous recevrai volontiers. Et il revint en effet, trouva Paula seule et joua au naturel, - nous en convenons, — la granie scène d'Antony. Toutefois, il n’alla pas. bien entendu, jusqu’à l’inci dent du poignard, il se contenta de verser quelques pleurs, ce qui était, selon lui, une heureuse péroraison. Mais Paula ne se laissa toucher que juste ce qu’il fallait pour ne point trop le déespérer. Alors Hector, attaquant une autre corde, lui parla de sa haute position com merciale et de sa fortune. Paula l’interrompit par ces simples mots i — Qu’est-ce que cela me fait?... Je ne suis point à vendre ! Songeait elle donc à un mariage ? Nullement. Et lorsque Hector, dans son lyrisme amoureux, aborda ce chapitre, elle lui rit au nez et lui dit :...