Extrait du journal

vous aurez pitié de ma petite Loizaik. Lord Bearland eut le temps d’interroger le confrère de Dénouai et d’apprendre que la jeune fille était condamnée à périr si elle continuait de respirer tour à tour l’air trop humide et trop vif de Vile de Sein. Oh ! très-bien ! fit-il. Puis il s’acquitta du droit de pilotage fixé par tarifs, sans offrir aucune gratification à Dénouai. On descendit à terre. Sur le rivage, le pilote fut salué par les acclamations et les félicitations de tous les pêcheurs. Il pressait le pas avec un mélange de tristesse et de fierté, de joie et d’in quiétude ; l’inquiétude et la tristesse dominaient. Lord Bearland et Raphaël le suivaient en observant ses émotions et celles des riverains. Hoël accourut au-devant de son père. Les deux Dénouai n’échangèrent qu’un serrement de main, puis ils entrèrent chez eux. Attendons ici ! dit Lord Bearland à Raphaël. — Mon père demanda ce dernier, comment ferez-vous accepter vos quatre mille guinées à ces gens-là ? — En ne leur offrant ni or ni argent, répondit le lord. Loïza, pâle et oppressée, se souleva péniblement et sourit lorsque entra son père. Son regard brillait d’nu vif éclat. — Vous les avez sauvés ! murmura-t-elle, je serai sauvée aussi î , t : Maître Dénouai s’approcha de son lit, l’embrassa et s’assit découragé. , , ! — Elle est bouue comme un ange, comme une âme du paradis, où ;elle sera bientôt !... pensait-il avec douleur. — Voici la neuvaine finie, mon enfant, dit-il ensuite ; mais tu h'as plus la force de partir... — Mon père,'mur mura la jeune fille, tout le monde dit idl qu’aucun aftr.e pible d« Seian-amil »«<«. »»«« ?n perdition.. Quand j étais à bord du Magnanime, d’autre* ajlajeut...