Extrait du journal

LES grèves politiques, préparées avec soin par le parti communiste, servies avec imbécillité par le patronat, ont fait long feu. Bien entendu, Benoît Frachon et ses amis ont trouvé une explication. La toute-puissance C.C.T., la seule, la vraie organisation syndicale des masses, est tombée sur un os. La « squelettique » Force Ouvrière a brisé l’élan irrésistible des cheminots et des travailleurs des Transports publics de Paris. Une poignée de traîtres (sont traîtres les chrétiens, autonomes et tous ceux qui, comme nous, ne marchent pas), e suffi à briser la puissance cégétiste....