Extrait du journal

On lit dans la Guienne : Il y a des gens qui affectent beaucoup de dédain pour le journaux, et qui se réjouiraient de les voir disparaître. Ils auraient incontestablement raison si leur dédain, voire môme leur indignation, s’adressait aux feuilles qui n’ont servi que les mauvaises passions des partis, et qui ont ainsi contribué depuis soixante ans à bouleverser les bases de la société franç. lise. Mais comment admettre qu'ils enveloppent dans une commune réprobation et les organes des principes conservateurs de l’ordre et de l’autorité, et les défenseurs des idées de la révolution?...