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Je suis partout, 4 février 1944

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Je suis partout
4 février 1944


Extrait du journal

Pourtant, y fait : la Milice a triomphé de tous les obstacles. Elle V y est une réalité. Elle est devenue l'outil même de la révolution. X $ En zone nord, si « malins * que nous soyons — mais notre $ astuce se manifeste surtout en sordides petites quercUes de X ’«• clans — nous avions besoin de cet outil. Un besoin impérieux. Avouons-le : en trois ans, nous n’avons été capables de rien # . $ édifier de semblable. X 'voir indigne et décadent. Beaucoup permettait point d’user des Iaxis de A La Milice ne prétend point se substituer aux partis. Mais V d’entre eux savaient ou’ils ris- nuit ;« i».*!. à â*»» i..:«...

À propos

Anticommuniste, profasciste, antisémite et positivement favorable à Hitler, Je suis partout est le journal d’extrême-droite le plus violent jamais publié en France. Si violent que son directeur Arthème Fayard, fondateur des éditions Fayard, décide dès mai 1936 de cesser sa parution. À sa mort en novembre 1936, le journal est toutefois relancé par son fils et Pierre Gaxotte, futur membre de l’Académie Française.

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