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Je suis partout, 14 décembre 1935

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Je suis partout
14 décembre 1935


Extrait du journal

fut pas ce qu'on a appelé son < dégonflage ». Il «'était engagé dans une impasse dont il ne pouvait sortir autrement... qu'il en sortit. Nos lecteurs se rappelleront peut-être qu’il y a quelques semaines, pour ne pas dire quelques mois, nous avions prédit aux « Croix de Feu » qu’ils seraient attaqués. Pourquoi ? Parce que le < Front Populaire > tenait absolument à leur faire prendre figure d’agresseurs devant l’opinion moyenne du pays. Les < Croix de Feu » n’ont jamais tué personne. Us n'ont jamais voulu tuer personne. Ils ne constituaient qu’un organisme de défense, mais extrêmement puissant. Il fal lait l’abattre en le discréditant. Où conduit le mépris du « politique »...

À propos

Anticommuniste, profasciste, antisémite et positivement favorable à Hitler, Je suis partout est le journal d’extrême-droite le plus violent jamais publié en France. Si violent que son directeur Arthème Fayard, fondateur des éditions Fayard, décide dès mai 1936 de cesser sa parution. À sa mort en novembre 1936, le journal est toutefois relancé par son fils et Pierre Gaxotte, futur membre de l’Académie Française.

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Données de classification
  • ybarnégaray
  • léon blum
  • thorez
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