Extrait du journal

s’agit aujourd’hui d’une œuvre de sa lut public; il faut arrêter la Franco aux bords de l’abîme. Et comment pourriez-vous croire eicore à la parole de ceux qui vous (fût promis la paix, l’ordre- la liberté, ût qui ne vous ont donné que la guerrû, le désordre et l’arbitraire? Comment accorderiez-vous vos suf frages aux survivants de la majorité des déficits, des impôts et du Tonkin ! Chers Concitoyens, La lutte n’est pas entre deux formes de gouvernement ; elle est tout entière entre : , L’ordre et J’anarchie ; - . . La prospérité et la ruine î • La liberté ou le radicalisme. Ouvriers de la ville et des champs, c’est à vous surtout que nous nous adressons à celle dernière heure. Nous n’avons rien tant à cœur, soyez-en bien persuadés, -que 'de défendre vos intérêts ; que de protéger vos salaires eu protégeant le travail national ; que de vous garantir ce que vous êtes en droit d’exiger tous, dans un pays libre comme doit l’être la. France : les moyens de vivre honnêtement d’un travail assuré, d’élever avec dignité vos enfants et d’épargner pour vos vieux jours. , . Ce sera l’œuvre réparatrice à la quelle nous consacrerons tous nos ef forts...