Extrait du journal

IV/UIC Ici X'itUlUC. L'objection ne touche en rien les 36.000 communes rurales, où il n'y a eu ni dépla cements ni raisons de se déplacer. Pourquoi ne pas ouvrir franchement lundi les écoles primaires, et mardi pour tenir compte des internes les lycées et collèges ? Avec les examens de passage en perspective, les classes normales finiront, si on ne presse pas le .mouvement, par ne reprendre qu'à la moifié d'octobre, à la veille du congé de la Toussaint, que suivra celui du 11 novembre et six semaines après la quinzaine de "Noël. On parlera ensuite du surmenage, de la sur charge des programmes, de la nécessité de l'après-midi de loisir le samedi. On gémira, en même temps, sur l'abaissement du niveau des études. Ajoutons que, pour les classes préparatoires aux examens et aux grandes écoles, une semaine de plus ou de moins peut être capitale, sur vingt-cinq ou vingt-six que compte l'année d'études avant l'écrit du mois de mai. La vie normale doit être ou redevenir la règle, et la vie normale dans l'enseignement, c'est que les maîtres soient dans leur chaire et les élèves sur leurs bancs, quand il n'y a pas à cela une absolue impossibilité la quelle heureusement n'existe plus. A. ALBERT-PETIT....