Extrait du journal

DES PROMESSES DE PAIX DONNÉES PAR LES CABINETS ÉTRANGERS. Les cabinets étrangers ont, dès le principe, reconnu le gouverne» nemenlde Louis-Philippe, sans adhérer cependant aux principes de h révolution de juillet. Us n’ont même pas cesse jusqu à ce jour de faire à la France des protestations pacifiques , afin de paralyser ses moyens de défense. Mais quand le maréchal Gérard ht faire une lever deirm mille hommes, les cabinets européens s en eurent et en demandèrent raison. On leur répondit que le gouvernement n avait d autres intentions que de mettre son armée sur le pied de paix- Les citrinères pleins de défiance, suivant leur vieille habitude , armèrent alors dans l’intention formelle d étouffer notre révolution ; c est un projet < r lequel il n’est plus permis d’élever de doute. Que faisaient-ils pendant ces arméniens formidables? ils protestaient encore de leur amour noir la paix. Sur ces entrefaites, la Pologne , la Belgique. I Italie et L Suisse s’insurgèrent, è notre exemple, pour reconquerra leurs droits. Dès-lors, pour faire respecter ccs révolutions dont la notre était .pour ainsi dire, solidaire , le ministère proclama avec emphase le généreux principe de nou intervention . mais ne se sentit pas assez fort pour le faire exécuter. La Russie le foula aux pieds et fondit sur la Pologne, pour l’écraser ; notre ministre des affaires étrangères interpelle a ce ( Let à la tribune nationale , répondit que la Pologne tant trop lom . de nous / et poussa quelques gros soupirs. Première déception. ....