Extrait du journal

don jan (bas). Finirez-vous bientôt de me bouder, madame. Tu Dieu! quelle sottise on fait en prenant femme ! Moi, le beau cavalier, l’aimable Don Juan Due chaque femme aimait à dire son amant ; Moi que l’on s’arrachait, se disputait et qu’on se Voulait approprier... non moins léger qu’une once, Me voilà maintenant, sans nulle pesanteur, Ne pouvant méso plus faire pencher un cœur. De mon côté... qud cœur encore me contrarie? C est celui de ma femme... oh ! à qui se marie Du de se marier conçoit le désir sot Jepaurai révéler l’épouvantable assaut vu il faut chaque matin, chaque soir, à toute heure, Auprès pesa moitié soutenir... (Haut). Que je meure Y Jc v°usoffensai,- Dalila... cependant...