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La Critique cinématographique, 18 mars 1927

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La Critique cinématographique
18 mars 1927


Extrait du journal

Tout de suite, nous sentons que nous sommes en présence de quelque chose de grand ; non seulement il s’agit d’êtres d'exception, mais surtout, la nature inter vient dans tout ce qu’elle peut avoir d’im mense et de merveilleux et communique à l’œuvre sa force el sa vie. D’abord la mer, et sa prêtresse, Diotima, dont les danses reflètent tous les caprices el toutes les fureurs de la vague. Puis la montagne et ses deux fervents, Robert et Frantz, l’un rude et sauvage, l’autre jeune et sensible. Entre celte femme et ces hommes, il ne peut pas être question d’in trigues vulgaires. Leur amour sera à la me sure des sommets qui les dominent. Les deux hommes en mourront, la femme y laissera toute ardeur, tout espoir et s’en ira, brisée... Non, certes, ce n’est pas un film ordi naire, rien n’y rappelle un précédent. Les artistes eux-mêmes, sans aucun maquillage...
La Critique cinématographique (1926-1938)

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