Extrait du journal

Très Saint. Père, des paroles de justice internationale prononcées vendredi par vous, soyez remercié. Avec vous, nous ap pelons, nous désirons la paix, pour elle nous prions. Mais vous-picme avez dit qu’elle était très lointaine : elle no peut, en effet, s’établir que dans la justice, èt la justice... est loin, bien loin à l’heure pré sente. Elle n’existera que lorsque sera humilié le peuple qui n’a cessé de résister passivement à la parole vénérée de votre prédécesseur, avec une obstination qui peint l’état profond de son âme nationale. La France, il est vrai, est officiellement séparée de vous. C’est notre honte et notre immense douleur. Mais voici l’heure des grandes grâces divines. A un catholique qui, devant vous, proclamait récemment qu’il avait « foi dans la France », vous répondiez : « Et moi, je l’aime. » Oui, aimez-la, Très Saint Père : la vraie France le mérite. Et par votre prière, la plus haute du monde, obtenez-lui le retour à vous et à la liberté religieuse. Et le ciel lui donnera la victoire qui, en justice, doit aller à elle, car elle ne fut pas l’agresseur. Franc....