Extrait du journal

J'ai dit ici môme, nu lendemain de sa mort, ce que nous pensions, ce qu’on devait penser du pionnier admirable qui s'est appelé de Drazza, quelle reconnaissance lui doivent garder ceux qui no séparent pas de la douceur et de la bonté l'a ouvre de force et d'expansion qui sollicite la République française. Sa vie et son labeur montrent que le fer et le feu ne sont quo do détestables agents, que le.s razzias et les débauches d’arbitraire, le sac des tribus épouvantées, les roules marquées de sang humain, que tout cela n’est que le décor atroce de la barbarie militaire, qui vivant do croix et de galon v a le besoin de hausser jusqu'à l’héroïsme la férocité inutile le de ses actes....