Extrait du journal

En février dernier, l’homme nue l’on peut considérer — de par lo prestige du nom qu’il porte — comme lo véritable chef du parti magyar. Kossuth. était appelé à Vienne reçu en audience particulière par l’empereur François-Joseph. Et ce fait, que l'empereur avait consenti à s'entretenir de la situation de l’empire pendant trois quarts d’heure, avec l’héritier direct du grand patriote hongrois, était interprété comme l’indice certain des intentions conciliantes, purificatrices, du vieux souverain....