Extrait du journal

sur le pied des plus minces théâtres nationaux? Un instrument de première classe y a douze à quinze cents francs d’appointement pour y accompagner les gros salaires de cinquante a soixante milleflancs. Lai mot, il y a la partie serf et la partie seigneuriale, sans compter le rands vassaux qui sont derrière la toile, et pour qui, tout ce peuple cl’artistes , de coryphées et de public travaille à former un revenu ne et assuré d’avancé: de cent ou de deux cent mille francs par sa.son.Que de pareils profits naissent de l’industrie ou de l’adresse des entrent de plaisirs | publics, rien de mieux. Tant pis pour 1 art ou pour k; publie s’ils n’y trouvent pas leur compte, et si la vogue fait prendre a celle-ci pourvu mérite, argent comptant, le charlatanisme des objets mis al enchère de son engouement ; mais que dans ce tripotage partis que1at fasse intervenir la bourse des contribuables pour subvenir au sue de cette épinette théâtrale où l’on pousse au luxe du ventre encore plus qu’à l’amour du talent ; voilà ce qui ne se voit qu en France, pays corne on sait essentiellement national....