Extrait du journal

— Suite. — De temps en temps, lorsque se produi sait un coup maladroit, elle laissait échapper un frais éclat de rire, et cha que fois quelle riait, je sentais trembler sous mes pieds la haie sur laquelle je m’étais juché. Sa compagne de jeu, Vê tue presque de même qu’elle, semblait d’une condition inférieure. Je la voyais du reste à peine. Elle me tournait le dos et j’avais assez à faire pour suivre tous les mouvements de la ravissante petite fée qui se démenait en face d’elle. Soit qu elle levât le bras pour frapper le vu lant, soit qu’elle le suivit des yeux quand il était en l'air, ou bien qu’elle le reçût sur sa raquette quand il allait tomber, elle avait toujours dans ses attitudes cet-...