Extrait du journal

Comte de Boris et de la tiiaison de France. -, — A Frohsdorf, mo dit-il, j’ai insisté • auprès tic M. le Comte de Paris, qui me déclarait vouloir respecter la volonté do Madame la comtesse de Chambord. « Il n’y a pas que Madame, ai-je ré, on lu, il y a la France. » ; « — C’est parce qu'il y a la France, m’a i répliqué M. le comte de Paris, que je dois i la représenter le premier. « — Venez. Monseigneur, vous laisse rez passer les autres princes. Puis, à ein; quanle mètres, vous marcherez seul, en tête de la maison de France ! Tous les Français vous suivront. On vous dispute votre place, venez la prendre. » — Je comprends les scrupules de Mon; seigneur, m’ajoute le comte do Mun, mais au point de vuo sentimental, il perd une ; bonne occasion. i Aucun Français ne salue les princes { italiens et espagnols de la famille do \ Monsieur le comte de Chambord. C’est ; une démonstration éclatante. Je crois savoir que, si Monsieur le comte de Paris était venu, le Prince de représentant, avait pereur d’Autriche do lui...