Extrait du journal

que nous fait s les vibrations du son se traduisent d’a bord en empreintes de cire, puis renais sent en vibrations. Ou bien, simplement, dire qu’en vertu de certaines lois qui dépassent notre perception, l’esprit de cet homme se trouvait enchaîné à ce lieu et contraint d'expier son péché indéfiniment, es sayant en vain de témoigner son regret et d’obtenir son pardon. Il n’y a, sans doute, aucun matérialisme à croire que des êtres spirituels soient contraints à s’exprimer dans les limites de l’espace et du temps, et que la nature inanimée, aussi bien que la nature animée, puisse servir de moyen d’expression à l’invi sible. Les curieuses petites histoires sont un peu gâtées, à mon goût, par le souci du décor renouvelé pour chacune d’elles,et souvent par des détails puérils, comme celui-ci, dans l’histoire ci «des sus, précisément : « ...Et j’allai me cou cher après avoir rallumé mon bou geoir ». Le bougeoir ne jouant aucun rôle dans l’affaire, que nous importe cette précision ? Ou : « Le P. Meuron s’arrêta et ralluma sa cigarette, qu’il avait laissée éteindre entre ses doigts ». Et Von est parfois étonné d’un trait de mauvais goût bien anglais, comme dans le beau récit « Dans la chapelle du cou vent », où l’auteur montre le mysté rieux dynamisme de la prière, cette comparaison de la religieuse en oraison devant lo tabernacle avec « un banquier assis devant son feu dans la Cité » qui, d un geste met en mouvement des forces énormes. « La comparaison pourra vous paraître vulgaire, » ajoute ingénument l’auteur. Oui... GRAYILLB....