Extrait du journal

Il y a galeux jours, nous ronslalions jus* la jireoSL* royaliste coininom,mil à rétro moins prodigue île pronostic s alarmantes. Aujourd'hui, l'apaisuuuut est complet, parce triée le Lut (ju’on si» proposait est manqué : le centre gaucho ne best pas laissé prendre, en effet, au X monstrueuses exagérations auxquelles l’élection du ?Î7 avril avait servi de prétexte. Ce n’est plus le « péril social *» qui préoccupe les défenseurs de ht droite, c’est la crainte d’avoir perdu la majorité dans l’Assemblée. Il suffit de lire V Union, Y Univers et. la Gazette Je France pour mesurer le dépit causé dans les (groupes royalistes par les déclarations ions de MM. Casimir lévrier, hé ray et Bérenger. 1/ Univers s en tire par l’insulte, suivant son liait ; il reproche à M. Périerde 11’avoir que de l’entêtement et pas «l'intelligence politique. L'Union, plus polie dans la forme, mais non dans le fond, accuse le même personnage d’ambitionner un portefeuille, comme si M. l’épier, eu quittant le ministère de l'intérieur à la suite du rejet de la proposition de retour à Paris, n’avait pas montré qu’il faisait, passer ses convictions avant ses intérêts. Hulin, la Gazette de France conteste que le centre gauche partage les idées républicaines dos hommes qu il a choisis pour ses chefs; mais, comme la Gazette elle-même ne croit que la moitié do ce qu’elle dit, elle envisage en même temps l'hypothèse d'une situation où ses amis seraient en minorité, et considère une telle position comme avantageuse. C’est ce qui s'appelle être hall u et content....