Extrait du journal

« Je remercie l'orateur qui m’a précédé de la juste manière dont il a apprécié mon patriotisme; mais je pense qu’il se fait une très haute idée des forces humaines quand il croit qu'il est possible, à la longue, de défendre d’une rouit contre un nombre respectable des plus grandes capacités du pays et contre les difficultés qu’aller saut sur le chemin, — sans compter les forci s opposantes qui sont hors de c< tte Chambre, — et de gouverner de l’autre un Etat comme la Prusse actuelle, Etat qui n'est autre chose qu’une machine dans le maniement de laquelle tout homme doit s’user après un certain temps. »...