Extrait du journal

Il a carrément accusé les adversaires de la loi de manquer de patriotisme, il s'est plaint amèrement que le Reichstag soit un endroit où « les passions » dominent les débats les plus solonnels « sur les intérêts sacrés de la patrie ». Ajoutant la menace à l'aigreur, il a donné à entendre que « si le Reichstag prochain méconnaissait également ses devoirs patriotiques » il aurait le sort de celui qui vient d'etre dissous. Enfin, il s'est félicité d'être « en communauté de sentiments avec les princes confédérés, avec le peuple et avec l'armée »....