Extrait du journal

Si je vous ai averti, 0 lieutenant empèkiné. que vous couriez risque de la vie à publier des informations qui sont courantes, ce n'est pas que je vous aie supposé criminel envers la patrie comme si vous vous sauviez ù Londres en cas de guerre. Je crois qu'il n'y a qu'un homme dons toute la marine française capable d'une telle action, et l'idée ne m'est pas venue que ce pût être vous. J'ai voulu simplement montrer à vos chefs qu'en essayant de fermer la bouche à ceux qui leur reprochent, trop justement, hélas l d'être de mauvais serviteurs, ils vous mettaient du même coup dans l'impossibilité de les défendre. Mon raisonnement était absurde, j'en conviens, puisque les lois ne sont pas fuites pour vous. Heureux homme, qui vous offrez l'élégance d'un petit frisson sans courir le moindre danger....