Extrait du journal

Et cependant le soir, ail elair de lune. En complet gris j’en ni vu d'entre vous Qui courtisaient ou la blonde ou la brime Et j’en étais, ma foi, presque jaloux. Assurément ce n'est pas très austère, (le n’est pas la non plus un attentat. Mais ils portaient ombrage nu ministère ) Puis ils pouvaient mettre eu danger l’Etat. j Pour vous non plus, doux pêcheur a la ligne, Quand vous étiez assis au bord «le l’cati, Un vieux chapeau, cela n'était pas digne, l'n vieux veston, cela n’était pas beau. A l’avenir, pour prendro des ablettes. Pour taquiner le goujon ébahi, Il vous faudra mettre «l«*s épaulettes, ) Et sabre au flanc et pompon au képi. ) J'ai mais parfois, délaissant ma rapière. Mes galons d’or et mes longs éperons, La fleur des champs ornant ma boutonnière. Aller rêver tout seul aux environs. Je suis soldat, je suis aussi poète, Kl, si je vibre à l’appel des tambours, Je suis ému quand la gentc alouette ) ^ . Se fait entendre au-dessus «les labours. ) * Mes chers amis, fiers officiers de France, En murmurant tout bas mes vers railleurs. Je vous invite à garder l’espérance Et vous prédis bientôt des jours meilleurs. Puisque ici -bas tout passe et se répété. Avant qu’il voit quatre mois révolus,...