Extrait du journal

disparaissant devant une majorité de | hasard fatalement irresponsable. Le ministère ne peut, s’il a quelque souci de sa dignité, se laisser ainsi dimi nuer. Les agissements du clergé, il les connaît ou, tout au moins, doit les con naître. S’il les juge dangereux, c’est à lui à prendre les mesures nécessaires. Si, au contraire, il pense, et il ne peut penser autrement, que toutes ces histoires ne sont que d’affreuses blagues écloses dans le cerveau obtus d’un Franc-Maçon ramolli, son devoir est de le déclarer. De toutes façons, M. Barthou, ministre de l’Intérieur, et M. Mélinc, président du Conseil, doivent faire connaître leur avis. Nous espérons bien qu’il se trouvera quelques députés pour les obliger à parler. Ad. PapillaucL...