Extrait du journal

On nous rendra cette justice que nous avons accoutumé de parler des affaires d’honneur quand une solution est inter venue seulement ; mais puisque le duel est A l’ordre «lu jour et que certains pour parlers sont «le notoriété publhpio, il nous est permis do trouver que monsieur Picquart a le sabre difficile : il est trop long A entrer en scène, le public réclame la toile. ...... Jo le répète : je réprouve 1 intrusion du public, de tiers quelconques on ces sortes d’alïaires ; mais quand on s’est placé au premier plan, fût-ce aussi fâcheusement, on appartient à la discussion. Les deux adversaires éventuels, le com mandant Esterhazy et M. Picquart, ont été jugés par leurs pairs, le premier par un conseil de guerre, à sa demande, le second par un conseil t* ’ M&te» contre son gré....