Extrait du journal

LA PAILLE ET LA POUTRE La Petite République nous prend A partie, Georges Berry et moi, parce que nous rem plissons de notre mieux notre mandat en dé fendant, chaque fois que l’occasion s’en pré sente, les commerçants parisiens, dont les charges augmentent de jour en jour. L’occa sion de cette diatribe est la récente circulaire du directeur des affaires municipales, relative à la vente des cartes postales. Si le rédacteur de la Petite République, qui nous prête des intentions aussi noires contre les marchands des kiosques, avait pris la peine de se renseigner, il saurait que nous nous sommes acquittes simplement d’un acte de notre fonction, qui est de faire observer les règlements existants. Et, en tout cas, il se serait évité une bévue, car ce n’est véritablement pas au journal qui, le premier, a supprimé ses porteurs pour con fier leur service a une des plus riches maisons d’édition, de se poser en défenseur des tra vailleurs et des humbles. G. M. LA LIBERTE D’ENSEIGNEMENT...