Extrait du journal

Il ne faut pas se le dissimuler. La peine do mort en France a subi un rude coup de par la grâce de Soleilland, signée de si désinvolte façon par le président de la République. Personnellement, je la regrette ; car j’estime qu’elle était, de la part de la société honnête, à l’égard de messieurs les assassins, un échange de bons procédés et, de plus, je crois qu’elle constituait le seul châtiment capable de donner à réfléchir aux apaches et aux cambrioleurs avant de saigner leurs clients. Sans vanité, aucune, je constaterai que les criminalistes les plus autorisés pensent comme moi....