PRÉCÉDENT

La Petite Gironde, 9 décembre 1920

SUIVANT

URL invalide

La Petite Gironde
9 décembre 1920


Extrait du journal

tu allais avoir dans quelques mois vingt ans... vingt ans, Irène, et que i'oubltais que tu avais devant toi toute la vie... toute ta vie que je n'ai pas le droit d'entra ver... > Non... laisse-moi achever... J'ai tint... J'ai compris, ou, plutôt, je me suis rappe lé que tu étais une jeune fille, tu entends. Jeune, et que J’étais un vieillard, et que ta jeunesse, tes cheveux blonds, tes yeux , notrs, ta beauté, le nom que tu portes la situation que tu as, tout me faisait un cri me de te laisser t’étioler ici, comme une plante h qui le grand air est nécessaire et qu'on garde enfermée dans une serre » Alors, voici ce que J’ai décidé, ma ché rie, et ta maman qui m’entend doit me * donner ratée n II ne peut pas. Il ne doit pas y avoir de deuil éternel... La douleur...

À propos

Au début simple déclinaison à prix modique du journal La Gironde, La Petite Gironde devient de plus en plus autonome à la fin des années 1880, lorsque sa diffusion dépasse – et de très loin – celle de son vaisseau-mère pour atteindre les 200 000 exemplaires à l'orée de 1914. Centriste modérée à l'origine, sa ligne éditorialse se droitise au fil des ans, jusqu'à devenir proche de celle de L'Action française dans l'agitation de la Première Guerre mondiale. Sans surprise, le journal sera collaborationniste en 1940, puis interdit en août 1944.

En savoir plus
Données de classification
  • lénine
  • millerand
  • george-f
  • leip
  • lucien hubert
  • bompard
  • paul do
  • ribot
  • de suives
  • paul doumer
  • france
  • verdun
  • paris
  • syrie
  • turquie
  • russie
  • gorki
  • grèce
  • allemagne
  • angleterre
  • la république
  • unis
  • conseil supérieur de la natalité
  • conférence internationale du travail
  • p. b.
  • comités de pro
  • grand-théatre
  • union