Extrait du journal

— Ma légitime a une maladie de cœur. — Mais, reprit-elle, et les parents "de Tiennot 7 — Pour ce qu’il en al... murmura l’homme, cynique. — Son père... <" — M. Laurent 7.-.-» Il ne te fera pas de difficultés, tu peux m’en croire. Au ton gouailleur de Gervais, Ade line rétorqua : — Vous savez donc qu’il est mort? — Tu le sais donc toi-même ? demanda-t-il d’une voix changée, et se penchant vers elle, pour lire, à tra vers l’ombre, dans l’ombre de ses yeux. — Oui. — Comment le sais-tu? — Quelqu’un me l’a dit. >—Quelqu’un?..# Qui ça ?... fit-il, tandis que dans ses intonations, dans son attitude, l’être terrible qu’il était au fond surgissait, rejetait le mas que de blague. ■ — Lâchez-moi la main, dit Adeline. Vous me faites mal. Qu’est-ce qui vous prend 7 — Non, non..-. Ne te tortille pas comme un ver coupé, ma fille. Ne te dérobe pas. Dis-moi qui t’a appris la mort de M. Laurent, et comment on te l’a apprise, ou je te.™ — Quvest-ce que cela vous fait? —Veux-tu me répondre I.™ . Elle jeta un cri. Il lui broyait le poignet. Toutefois, De ne^ fut pas la domei...