Extrait du journal

LE VEUF ET SES FILLES. Un rentier tic Bâte, resté veuf avec trois grandes fille*-. fut pris récemment du désir de se marier. 11 fit, en conséquence, insérer un avis anonyme dans les feuilles locales. Des lettres, des photographies arrivèrent à l'a dresse qu'il avait indiquée. Notre homme ne fut pas peu surpris de trouver au nombre des candidates à sa main scs trois tilles. j.e veuf facétieux fit répondre au moyen d'une machine à écrire. La correspondance, aiu i engagée, se termina par un rendez-vous général, auquel les jeunes personnes furent confuses de se rencontrer et plus dépitées en core de reconnaître, dans le fi.tucé de leurs rêves, leur papa. XZV-WXA/ IL FAISAIT MOI.Y S CHAUD. Il y a exactement cent ans, voici quelle mode faisait fureur chez les femmes : Pour les capote-, du taffetas rayé, à l’ordinaire, mais une cocarde plus volumineuse. En ru bans, plus de jaune que de coutume et du gros-jaune. Variété immense de pèlerines, de collerettes et de fraises. Peu de tabliers, peu de capotes blanches, peu de voiles et, ce qui est extraordinaire, peu d’ombrelles. U faut croire que Phébus ne chauffait pas comme en juillet 1908. WWW PETIT PAIN DU MATIX. — Votre mari est-il aussi avare qu’on le dit? — Il est tellement chien que je ne l'appelle plus, je le âiflîe A...