Extrait du journal

VIII {Suite.) LE MONTREUR DE BÊTES Qui sait ? miss Eva lui servirait peut-être, un jour, à protéger la fille de Cécile! La jeune Anglaise s’éloigna au bras de son cousin, et la foule s’était déjà retirée, laissant la ménagerie vide, lorsque le gros Anglais souriant qu’Estradère avait aperçu derrière miss Eva, lord Ilarrisson, s’avança, riant toujours, vers le dompteur, et, comme en chanté de lier connaissance avec un homme aussi original que ce Français : — Monsieur, dit-il avec un léger accent britannique, et en coupant ses paroles d’un petit rire guttural, laissez-moi vous dire que vous m’avez beaucoup amusé, beaucoup. Eh ! eh I Vous savez évidemment dompter les bêtes, eh! eh l Je voudrais bien voir...