Extrait du journal

M. Maxime Duf.imp a publié dans la dernière livraison de la Revue de Paris un poème d’au moins 1500 vers intitulé la Mort du Diable. Nous avons rarement lu une poésie plus prétentieusement mauvaise. D’abord comme point de départ, une idée, si idée il y a, dont le mysticisme est noyé dans des tirades d’une longueur somnifère. Puis au point de vue du style, un mélange de barbaries ambitieux et d’images ridicules; de grands mots pompeux aussi vides qu’ils sont gros. Du reste, des citai ons au hasard en diront plus que tous les commentaires. Xous en avons choisi quelques-unes pour égayer nos lecteurs :...