Extrait du journal

Il y a encore une observation qu'auraient dû faire les journaux quiontprissimal àpropos la défense des ouvriers, quand l'arrêt de ta cour de cassa tienne portait aucune atteinte réelle à ieurs salaires, et que nousallons faire pour eux. Dans Fêtât de liberté, ou plutôt dans l'état de désarroi et de sauve qui peut permanent où est l'industrie, tes ouvriers travaillent quand et comme us veulent. L'expérience prouve qu'Us tirent un triste profit de cette liberté, et que la plupart d'entre eux passent beaucoup plus de temps à dépenser, qu'Us n'en passent à gagner. Or, voici eh définitive que ta société supporte les funestes conséquences de l'Im– prévoyance et de l'intempérance des ouvriers. Maîtres de leur salatre, ils vont le dépenser dans les cabarets, au grand détriment de leur~corps, de leur esprit et de leurs habitudes t)s deviennent mous, indifférons, sans idée d'avenir; Us refusent toutes les occasions qu: se présentent à eux de s'établir, aimant mieux la v

À propos

La Presse, fondé en 1836 par Émile de Girardin, fut l’un des premiers grands quotidiens populaires français.

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