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La Presse, 7 novembre 1836

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La Presse
7 novembre 1836


Extrait du journal

ne pas y croire , même^après l'avoir vu ae près; c'est a ne pas oser dire la moitié de ce qu'on a vu, de crainte d'être taxé d'exagération. Et, cependant, il le faut, pour ne pas se rendre complice des odieux meusongeà répétés chaque jour pour le plus grand profit des infâmes joueurs de Bourse. L'orgueil britannique n'a qu'une ressource relativement à la légion Evans, c'est de lui retirer le.nom de légion anglaise, c'est de l'appeler ce qu'elle est en réalité, une spéculation, et d'en laisser la honte aux spéculateurs. . On aurait sans doute trouvé beaucoup de lieutenants-colonels cle, l'armée anglaise qui eussent consenti à devenir lieutenantSTgénéraux, à commander en chef et sans contrôle un corps d'armée de quinze mille hommes ; on n'en eût pu trouver de plus apathique, de plus incapable...

À propos

La Presse, fondé en 1836 par Émile de Girardin, fut l’un des premiers grands quotidiens populaires français.

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