Extrait du journal

La nation anglaise respire. Le bill des ~fermages est voté! Mais la Chambre des lords a baissé encore'dans l'opinion. On les a vus trembler; on les a entendus, avouer leur impuissance. On sait que s'ils ont reculé c'est parce qu'ils ont eu comme un pressentiment de leur un. Désormais l'opiQMn publique anglaise est fixée. Elle'sait que lorsqu'il lui plaira d'expulser de la Constitution les privilégiés, il lui suffira de. He dire hautement. La Chambre des lords s''écroulera comme un château de cartes. ~Ce n'est que différé. Il est évident aujourd'hui que.cette Chambre, qui a faitl'envie de toutes les nations nées à la liberté,...