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La Presse, 7 juillet 1925

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La Presse
7 juillet 1925


Extrait du journal

« Avant de se séparer pour le weekend, les ministres ont considéré avec anxiété les mesures à prendre pour protéger les intérêts et les sujets britanniques menacés par les troubles actuels en. Chine. Le Gouvernement avait reçu des informations disant que l'attitude hostile des Chinois, dans plusieurs centres importants, contre les Britanniques, était, stimulée par les agents de la République des Soviets, mais ces informations ne paraissaient pas être suffisamment nettes pour amener les ministres à discuter la question comme un développement de la propagande bolcheviste. Il est encore trop tôt pour parler de la rupture des relations avec la Russie •parce qu'avant d'en arriver là, beaucoup de choses se passeront encore. Tout d'abord, il faudra appeler" l'attention des Soviets, par l'intermédiaire de leur représentant à Londres, sur les nouvelles venues de Chine relativement à Inactivité des agents russes, cl les inviter à fournir une explication....

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La Presse, fondé en 1836 par Émile de Girardin, fut l’un des premiers grands quotidiens populaires français.

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