Extrait du journal

LA CRISE DE LA RÉPUBLIQUE ET L’ÉDUCATION DU PEUPLE (D Messieurs, J’ai été doublement heureux de répondre ce soir à l’appel de VUnion démocratique. D’abord cette séance est présidée par un homme qui est un grand citoyen en même temps qu’un grand professeur, et qui a réalisé le difficile problème de la mutualité intellectuelle en restant aussi jeune que les élèves dont il a fait ses camarades. Ensuite, l’œuvre à laquelle vous m’associez me paraît la plus importante dans notre démocratie, la seule vraiment capable de sauver la troisième république, de la fonder sur des consciences vivantes, non sur des équivoques mortelles !...