Extrait du journal

Je suK le pécheur las des vieux ports ; ma lace halte par les embruns ouvre sur la vie et la mort bleu yeux qu'ont agrandis les espaces sans Un. Je suis le pécheur ias des vieux ports, qui marche obliquement sous le fait du allo celui qui use, écorche et tord le squelette de ses deux mains et les os de ses épaules sèches à hala les bateaux de pèche. Je suis le pécheur las des vieux ports î mon corps usé ploie sous l'effort. et pourtant Je voudrais fixer d’un nœud solide que rien ne brise la barque où gisent tous les débris qu’ont entassés les aïeux endormis au gond des siècles morts. Je suis le pécheur las des vieux ports ; à la mer vi rouler mon corps avec les cadavres qu’on jette, mais je souhaite que mes fils reprenant ma place so débarrassent de l’emprise des choses mortes qu'ont imposées les vieilles races, et rivent à jamais le lourd bateau qui porte les ruines du passé....