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La Vie ouvrière, 16 juillet 1926

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La Vie ouvrière
16 juillet 1926


Extrait du journal

C’est donc selon leur plan qu’on stabilisera. Or, tout le système Caitllaux refuse. pour opérer la stabilisation, sur l'obtention de crédits étrangers. De nouveau on ergote : « Crédits ne veut pas dire emprunt ». proclame Caillaux. On nous permettra de ne pas nous arrêter à ces subtilités. Entre l'emprunt d'une certaine quantité de livres et de dollars qu’il faut rembourser et l’ouverture d’un crédit qu'on dévore dans de hasardeuses spéculations (exemple : le fonds Morgan), il y a pour nous, suivant l’expression consacrée, la même différence qu’entre la peste et le choléra....
La vie ouvrière (1909-1993)

À propos

La Vie ouvrière est une revue hebdomadaire syndicale illustrée proche de la CGT, créée en 1909 par des syndicalistes révolutionnaires parmi lesquels se trouve Pierre Monatte. Lors de la scission de 1921, la publication se rapproche de la CGT-U, dont elle devient l’organe officiel. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, elle continue à paraître de manière clandestine, sous la direction de Benoît Frachon. À la Libération, elle renaît officiellement et devient un des hebdomadaires les plus importants avec un tirage à plusieurs centaines d’exemplaires.

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Données de classification
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