Extrait du journal

Mais le haut-commissaire à Beyrouth s’occupera-t-il seulement des affaires qui concernent les rapports franco-turcs ? Restera-t-il muet au sujet du problème de Mossout, qui n’a pas avancé d’un pas depuis la décision du Conseil de la Société des Nations, et dont s’occupe le représentant britannique à Angora? Esquisser, sans le crier sur les toits, une amicale méditation, ne serait-ce pas continuer cette excellente politique d’apaisement, de marque esessentiellement française, ù laquelle le Proche-Orient doit en ce moment sa tranquillité et la Turquie son indépendance ?...