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La Volonté, 15 février 1926

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La Volonté
15 février 1926


Extrait du journal

Mais M. Pdul Painlevé ne formait pas ces brillants projets d’avenir quand, l’autre matin, il donnait un premier coup de pioche. M. Paul Painlevé était encore dans Fexercice de ses fonctions ministérielles. Il ne travaillait que .pour la..galerie, voulant démontrer que le pouvoir met la main ù la pâle et mêle sa sueur à celle des possédés. ’ Curieuse aberration ! Un ministre se croit toujours, et pour la vie entière, ministre. Il croit à l’utilité de son ministère... On lui offre cette chance d’avoir un métier sérieux. On lui met l’outil en mains. On lui indique même la manière de s’en servir. Et il revient à son cabinet de ministre. ! x...
La Volonté (1925-1936)

À propos

La Volonté est un quotidien mondain illustré ayant paru entre 1925 et 1936, dont les articles portaient sur l’actualité politique et culturelle. Son fondateur et rédacteur en chef Albert Dubarry était proche des milieux politiques, et particulièrement ceux de la droite radicale, si bien que le périodique fut le journal officieux du cabinet d’André Tardieu en 1929. En 1926, en échange d’une subvention trimestrielle de 10 000 marks, le quotidien est mis au service de la République de Weimar.

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