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L’Action française, 17 janvier 1936

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L’Action française
17 janvier 1936


Extrait du journal

avait une importance décisive... pour la prochaine consultation électorale... et quHl s'agissait de savoir sans plus tarder si les radicaux laisseraient M. Laval « faire » les élections, appuyé par une majorité hostile au programme du front commun. Naturel lement, il a fait sommation à Edouard Herriot d'avoir à rejoindre ses troupes ra dicales et socialistes, Mais le lourd maire de Lyon s'est mis en carapace au banc des ministres... Et c'est le président du Conseil qui a répondu, en quelques mots méprisants qui ont dispersé les assaillants. Comment? Oh! cela a été très simple. Deux phrases pour faire remarquer aux radicaux que le Juif de toutes les internationales était « parti culièrement qualifié » pour donner des conseils à leur parti, dont tous les chefs au pouvoir avaient été abattus successive ment par les votes socialistes. — Est-ce ma faute, si je suis à la place que j'occupe? Non! c'est par la grâce de M. Blum! Ce langage. « parlementaire » devait...

À propos

Fondée en 1908, L’Action française est un journal d’extrême droite dirigée par Charles Maurras et interdit à la libération en 1944. Se gargarisant d’être « le journal du nationalisme intégral », la publication se veut le trait d’union entre les mouvements royalistes, nationalistes et antisémites.

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