Extrait du journal

On sait que mardi dernier, à la Bourse de Paris, comme dans les bourses étran gères, la séance a été mauvaise. Les va leurs françaises et internationales ont baissé. Dans sa « Politique » de mercredi, Charles Maurras a commenté cette baisse. Il en a indiqué la cause essentielle : Ne craignons pas de dire que la baisse des valeurs internationales tient, en grande par tie, à l'absence d'une politique énergique et clairvoyante de l'Etat français. Le président du Conseil a tenté d'arrê ter cette baisse. Mais au lieu de s'attaquer à la cause véritable signalée par Charles Maurras, — c'est-à-dire de prendre, tant au point de vue intérieur qu'au point de vue extérieur les décisions indispensables — il a fait donner par le ministre des Finances et le ministre de l'Intérieur, des ordres au commissaire Pradié chargé de la surveillance de la Bourse. Ce fonctionnaire a exécuté avec minu tie les directives gouvernementales. Il a, au début de la Bourse de mercredi, posté çà et là à travers le temple de la finance, des inspecteurs de police qui ont accom pli avec zèle les consignes de leur chef. Us ont opéré neuf arrestations. Il con vient qu'on connaisse comment elles ont été opérées. v (Lire la suite en 3' page) tHiitfiiiiiiiiiinifHHiiiiiiiiiHMiimiiuiiiminuiiiiiiiiiiimiiitiiimiint...