Extrait du journal

Jusqu’à présent, la parole était donnée aux ministres suivant un ordre de préséance établi par 'a tradition. Après le président du Conseil, c’était le garde des Sceaux qui avait la parole et le ministre des Affaires étrangères avait droit ensuite de saisir le Conseil des affaires de son département et ainsi de suite. De cette manière, il arrivait bien souvent ou* des problèmes très importants ne pouvaient êtres examinés qu’en fin de séance, voire renvoyés à un autre conseil faute de temps, puisque ces questions émanaient de ministres comme celui des Colonies ou de la Marine marchande ayant en dernier lieu leur tour de parole....