Extrait du journal

« Et après ? ». demande-t-on. Eh bien, il est évident que si. dans deux ou trois mois, les conjurations de congrès ou de couloirs, les exigences des équipes politiciennes, les intrigues personnelles, des scrutins raflés sur les pupitres, doivent abattre de nouveau les ministères comme des quilles, faire table rase de l’œuvre à peine commencée, précipiter la banqueroute du budget, la déchéance politique précédera de peu la désagrégation sociale, les spasmes révolutionnaires et la débâcle générale....