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L’Aurore, 15 octobre 1949

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L’Aurore
15 octobre 1949


Extrait du journal

La formule tant bonne, notai ment a regard des communistes, qui commençaient a tomber de sommeil sous ce régné soporifi que. Ils se sont resta.».» brusque me*-t hier matin, a I Assemblée, et I on ne peut pas dire qu’ils aient le réveil suave. Je ne sa s pas ce que M. Ouetos mettait au trois dan» tes pâtisseries, ma » ce qu’il met aujourd'hui dans ses interpellations me console qu'il n'ait pas rep. .s le métier. A jour te a cela que les boueux s'étant mis « n grève, nous avons passa la journée dans une atmosphère d’ordures menacerez » laquelle on prétendit aussitôt que M. de Bec y avait tente d échapper par la fête....
L'Aurore (1943-2001)

À propos

L’Aurore, ainsi nommé en référence au titre créé par Georges Clemenceau en 1897, est un quotidien clandestin, fondé à Paris en 1943 par Robert Lazurick, homme politique et membre du Front populaire. À partir de 1981, le journal paraît sous le titre Le Figaro Aurore, avec le même contenu que le Figaro.
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